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Rolande Tisseyre
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"Il n'y a pas d'affaire Cassagne", dit le procureur au commissaire Cadillac qui sait pourtant que la chevaleresque Albina n'a pas déshérité ses enfants sans raison à la veille de sa mort suspecte.
Avec ses inspecteurs, il va traquer dans l'ombre et sans relâche l'ange noir qui plane sur la Malvie, une maison si belle qu'elle suscite toutes les convoitises. Il découvrira au fil de l'enquête un sombre secret lié à une fortune probablement mal acquise qui plonge ses racines dans un passé lointain.
Cadillac se sent dupé comme dans une partie de cartes où l'adversaire est par trop chanceux. Y a-t-il eu maldonne ou tricherie avec cet argent sale tombé dans des mains innocentes ? Et quel est le mobile ? Haine et vengeance ou sordide cupidité ? Lequel des séduisants suspects manipule un complice, à moins qu'ils ne soient manoeuvrés par lui à leur corps défendant oe
Mais ces drames ne doivent pas faire oublier que nous sommes en Aquitaine, dans le Périgord plus précisément, où l'humour n'est jamais bien loin. On sait trop bien, ici, que les grands éclats de rire sont le soleil de la vie. Et la vie est si belle ! Sur la Dordogne... Ô Dordogne, écrire sous tes grands arbres, à l'ombre de tes fabuleux châteaux !
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Mystère et drame, mais aussi humour et gastronomie : la dernière en date des enquêtes du Commissaire Cadillac.
Un accident de chasse dont beaucoup se réjouissent, un château médiéval oublié où tout le monde est pauvre, un homme disparu en montagne pour le plus grand profit de quelques-uns, des victimes invengées .
Mais que fait la police ?
Même le commissaire Cadillac ne semble pas s'émouvoir d'être mystifié par un crime parfait . ou deux . ou trois.
C'est le printemps en Dordogne, saison des amours et des morilles que l'on prend au sérieux ici, tout autant que l'humour et la gastronomie.
Cela ferait-il perdre tout sens du devoir à nos sages Périgordins ?
Ne vous y fiez pas.
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Elle aimait trop ses forêts, Léa, et trop peu sa famille.
C'est ce que pensaient tout bas ceux qui attendaient impatiemment sa mort. Mais qui a pris le risque fou d'avancer sa fin de quelques jours ? Et pourquoi ? Pour hériter de son empire ? Ou du divin Castelet qu'elle aurait usurpé ? Rien n'est évident pour le commissaire Cadillac, même pas l'absurde intuition qu'il va enfin mettre la main sur le pyromane responsable de la mort de son père. Ses enquêteurs, eux, se demandent pourquoi Isabelle est absente de sa galerie de suspects.
" Trop jolie ", affirme l'inspecteur Garrigue qui se trompe rarement ...
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Ils ont tout pour être heureux, les Laroque. Le père, Victor, a fait don à ses fils de sa propriété viticole dans un partage équitable : les vignes sont allées au réaliste Serge, le château au flamboyant Bernard. Lui-même n'est pas à la rue, dans le beau manoir de sa femme Solange... Tout serait donc bonheur dans l'angélisme des bonnes fortunes bourgeoises bien gérées en famille ? "Mouais", dit le commissaire Cadillac qui enquête en sourdine, quand les drames atroces qui s'enchaînent ont des explications trop belles pour ne pas être maquillées. A ce jeu cruel qu'est la chasse à l'homme - même s'il préfère l'appeler chasse à la vérité - toute erreur est fatale. Celle qu'il commet sur le chemin difficile d'une enquête passionnée pourrait ruiner sa carrière s'il n'y trouvait du Périgord, on a le soleil au coeur.