SON MARI ET SON FILS ONT DISPARU, AVALÉS PAR LA PLUS MYSTÉRIEUSE DES LANDES BRETONNES...
Un choc sous la voiture, en pleine nuit, alors que Vivian, Hadrien et leur fils Tom roulent dans les monts d'Arrée, ce massif breton formé de landes, de roches et de marécages.
Hadrien s'arrête, descend pour voir, Tom le suit. Une minute passe, puis deux. Vivian s'inquiète, c'est bien long et elle ne les entend plus, elle quitte la voiture, appelle. Personne. Si c'est une blague, elle n'est pas drôle, fulmine-t-elle. Mais quand elle s'avance de quelques pas vers la forêt, un homme surgit et la prend en chasse, il est armé d'une hache, elle court vers la route, et se jette quasiment sous les roues d'un camion qui la prend à son bord et la conduit à la gendarmerie.
Là, Vivian raconte, affolée, supplie qu'on l'aide. La lieutenante Maëlys Mons envoie une équipe sur les lieux. Rien. Pas de voiture. Aucune trace.
Ainsi commence une attente d'autant plus insoutenable pour Vivian que, dans ses rêves, qui semblent essayer de lui dire quelque chose, elle retrouve son mari et son fils.
L'incompréhension grandit lorsque la voiture est découverte au fond d'un marais, vide. Qu'est-il arrivé à Hadrien et Tom ?
IL Y A CE QU'ON VOUS A RACONTÉ, CE QUE VOUS AVEZ COMPRIS,CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS CRU...
ET PUIS IL Y A LA VÉRITÉ.
Lundi dernier, le père de Damien s'est jeté du haut de la baie des veuves, cette falaise d'où les femmes guettaient autrefois le retour des bateaux de pêche.
Damien se met donc en route pour régler les funérailles, tentant en vain d'éprouver de la tristesse. Durant l'été 1995, ce père qu'il aurait voulu aimer est devenu un meurtrier, les contraignant sa mère et lui à déménager à l'autre bout de la France car la ville entière maudissait leur nom. Damien n'est jamais revenu. La seule lumière dans ce pèlerinage douloureux est qu'il va revoir Oriane, son amour d'enfance.
Mais arrivé dans le quartier des pêcheurs désormais à l'abandon, Damien découvre dans la parka de son père une photo qui remet tout en question... Et si la vérité sur l'été 1995 était tout autre?
Un thriller mêlant émotionet angoisse, proche du roman noir,qui avance par touches imperceptibles vers un dénouement aussi stupéfiant que bouleversant.
Un nouveau coup de maître!
Nord-est du Canada, 1972. Dans cette région glaciale, balayée par les vents, où l'hiver dure huit mois, la petite communauté de Jasperville survit grâce au travail dans les mines d'acier. Les conditions de vie y sont difficiles. Au-delà du village, il n'y a rien. Juste une nature hostile, quelques ours, des loups. Aussi quand le corps d'une adolescente du village est découvert aux abords de la forêt, la gravité des blessures laisse supposer qu'elle a été victime d'une bête sauvage. Ce sera en tout cas la version officielle. Et tout le monde prie pour qu'elle soit vraie. Mais, quelques temps plus tard, le corps d'une autre jeune fille est retrouvé.
Montréal, 2011. Le passé que Jack Deveraux croyait avoir laissé derrière lui le frappe de plein fouet lorsqu'il reçoit un appel de Jasperville. Son jeune frère, Calvis, est en garde-à-vue pour tentative de meurtre. De retour sur les lieux de cette enfance, qu'il a tout fait pour oublier, Jack découvre qu'au fil des années, l'assassin a continué à frapper. L'aîné des Deveraux comprend alors que la seule façon de mettre fin à cette histoire tragique est de se répondre à certaines questions, parfois très personnelles. Mais beaucoup, à Jasperville, préfèrent voir durer le mensonge qu'affronter la vérité.
Dans la droite ligne de Seul le Silence, RJ Ellory nous offre un roman troublant de beauté et d'émotion à classer sans conteste parmi ses plus grandes réussites.
« Donner l'alerte, hurler de toutes ses forces ! On allait l'entendre... Mais le cri mourut dans sa bouche, un chaos d'idées se fracassa dans son esprit, une déferlante d'effroi. » Quel est le prix à payer pour dissimuler l'inavouable ? Lorsque la vérité met vingt ans à remonter à la surface, le désir de vengeance n'en est que plus dévastateur... Guidée par son instinct, Louise Caumont, de la brigade de recherches de Tarbes, se lance dans une course contre la mort : qui sera la prochaine cible et pourquoi ?
Des Polars d'ici, une collection de polars et romans noirs racontant la Normandie du quotidien avec des intrigues ancrées dans l'actualité, à cheval sur deux territoires, une grande ville et une localité proche et lointaine à la fois : Le Havre-Honfleur, Rouen-Dieppe, Caen-Cabourg, etc. Le tout sous la plume d'auteurs chevronnés, exigeants mais soucieux d'une grande accessibilité dans l'écriture.
Les Polars d'ici peuvent se lire indépendamment ou en complément de la collection « Des Nouvelles d'ici », dont le 1er volet, consacré à la ville du Havre, est paru en octobre 2020.
1er volume de la collection : DOUBLE H, une enquête entre Honfleur et le Havre de Jean-François FOURNEL Un noyé d'un côté de l'eau à Honfleur, un cadavre mutilé de l'autre côté, au Havre. Deux cités qui se toisent depuis les deux rives de la Seine, deux affaires sans lien apparent, réunies par les deux femmes qui en sont chargées : Stéphane, lieutenante de police au commissariat de Honfleur et Linda, chargée de la surveillance des activités illicites à la direction du port du Havre. Ces deux femmes sans hommes sont amies, l'une des deux rêverait même d'un peu plus. Ce décalage s'ajoute à leurs éternels débats sur la prétendue supériorité de leurs cités respectives, si différentes dans leur histoire et leur atmosphère, si semblables face au danger des réseaux de trafic de cocaïne qui sévissent des deux côtés du Pont de Normandie.
« Recherche professeur au bout du monde. » Cette petite annonce découragerait toute personne saine d'esprit. Sauf Una. La jeune femme part pour Skálar, l'un des villages les plus reculés d'Islande, qui ne compte que dix habitants.
Bientôt, une mort brutale survient. Una entend des voix et une fantomatique berceuse. Quels secrets cache ce village ? Jusqu'où iront ses habitants pour les protéger ?
Les promises, ce sont ces grandes dames du Reich qui se retrouvent chaque après-midi à l'hôtel Adlon pour bavarder et boire du champagne, tandis que l'Europe, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, est au bord de l'implosion. Ce sont aussi les victimes d'un tueur mystérieux, qui les soumet à d'horribles mutilations...
Dans un Berlin incandescent, trois personnes vont s'atteler à l'enquête : Simon Kraus, psychanalyste surdoué, gigolo sur les bords ; Franz Beewen, colosse de la Gestapo, brutal et sans pitié ; Minna von Hassel, psychiatre, riche héritière.
Ces êtres que tout oppose vont suivre les traces du Monstre et découvrir une vérité stupéfiante.
Le mal n'est pas toujours là où on l'attend...Un voyage au bout de la nuit aussi exaltant qu'effroyable. L'Express.Le roman historique s'enchevêtre au thriller. Un coup de tonnerre. Libération.Jean-Christophe Grangé ne ménage ni ses personnages ni ses lecteurs. Page des libraires.
1917. Alors que la Première Guerre mondiale fait rage, un homme est retrouvé mort dans une cave du village de Haut-de-Coeur, en Bourgogne. Pas mort d'un excès de froid, de faim ou de vin, comme d'autres, mais proprement égorgé.
Ici, bon nombre des habitants ont grandi sans autre père et mère que les religieuses du majestueux couvent des Ursulines. C'est le cas de l'inspecteur de police Matthias Lavau : recueilli tout petit par le couvent, il est parti faire ses armes à Paris et à Lyon avant de finalement rentrer au bercail. Son talent ? Il se souvient de tout, tout le temps. Une mémoire parfois lourde à supporter, mais dans ses enquêtes, un atout précieux.
La victime aussi est un ancien des Ursulines : Thomas Sorel, bien connu dans les alentours, et presque unanimement détesté... C'est le bras armé du très redouté maire. Beaucoup ont souhaité sa mort, pour des raisons valables, le plus souvent.
Dans l'atmosphère crépusculaire de l'hiver interminable qui s'est abattu sur la région, Matthias et son assistante Esther vont devoir démêler les racines du Mal, entrelacées depuis des décennies et profondément plantées dans les passions, les vices et les secrets de Haut-de-Coeur.
Audrey Brière a 37 ans et vit en région parisienne. Les Malvenus est son premier roman.
Un drame est si vite arrivé... un miracle, tout autant.
Espagne 2006, un grave accident de bus en montagne lors d'un voyage scolaire. Trente et un lycéens miraculés. Aucun blessé. Un seul absent ce jour-là, pour cause d'appendicite : Jeff Moran.
France 2016, lors d'une soirée commémorative de « la miraculeuse tragédie », Jeff, devenu journaliste dilettante qui traîne son cynisme et son vague à l'âme comme une seconde peau, se voit mandaté par le père de son ex-meilleur ami pour retrouver ce fils prodigue qui s'est volatilisé. Aubaine ou malédiction ? Contraint d'infiltrer des groupes nationalistes troubles et des milieux interlopes pour les besoins de son enquête, Jeff réalise rapidement - à ses dépens - qu'il ne ressortira pas indemne de cette quête sur les traces de son pote et de leur jeunesse, tous deux disparus.
Venu se désintoxiquer de son addiction à l'opium dans un ashram au coeur de l'Assam, le capitaine Wyndham ne pensait pas, entre deux tisanes infâmes, prendre précisément des vacances. Cependant il ne pouvait imaginer qu'en ce mois de février 1922, à l'autre bout de la planète, un fantôme surgi d'un lointain passé londonien reviendrait le hanter. Un de ces sales types croisés du temps où, jeune policier à Scotland Yard, il faisait ses premières armes dans les quartiers populaires de l'est de Londres, là où dockers anglais, immigrés et trafiquants de tout poil ne faisaient pas bon ménage. Mais que peut bien faire cet escroc dans ce coin paumé où on ne trouve pas un whisky convenable à des miles à la ronde?
Deux enquêtes croisées pour dénoncer une même peur de l'étranger à travers une énigme digne des maîtres du genre.
Une écriture puissante, des paysages impressionnants et un sens du suspense glaçant ont fait d'Asa Larsson une figure incontournable du polar scandinave. Trois fois récompensée par le Prix du meilleur roman policier suédois, traduite dans trente pays, elle poursuit sa série-culte dans les pas de son héroïne Rebecka Martinsson. Sur une petite île du nord de la Suède, on découvre coup sur coup deux cadavres. Si le premier décès est récent, l'autre remonte à... il y a plus de cinquante ans. Quel est leur lien? Et où s'arrêtera ce sinistre décompte? Criminalité organisée, escroquerie immobilière, prostitution... Rebecka remonte une piste aux ramifications inattendues et multiples, loin d'imaginer qu'elle va lui révéler de terribles secrets sur l'histoire de sa propre famille.«Sur l'écran de vos nuits blanches, voici de nouveaux cauchemars.» L'OBS
Carl et Roy ont seize et dix-sept ans lorsque la voiture de leurs parents tombe au fond d'un ravin. Roy s'installe comme mécanicien dans une station-service du bourg voisin pour subvenir à leurs besoins. Carl, aussitôt sa scolarité finie, file au Canada poursuivre ses études et tenter sa chance.Des années plus tard, Carl revient au pays avec une trop ravissante épouse, mû par un ambitieux projet pour le modeste domaine familial:construire un hôtel spa de luxe qui fera leur fortune et celle de leur communauté, sur laquelle il compte pour financer les travaux. Mais le retour de l'enfant prodigue réveille de vieilles rancoeurs et les secrets de famille remontent à la surface. Tandis que les murs du palace peinent à s'ériger, les cadavres s'amoncellent.Leur domaine est un thriller complexe, déroutant, à l'atmosphère irrespirable, dans lequel Jo Nesbø expose avec un réalisme glaçant les rouages des rapports familiaux pervertis. On comprend que Stephen King ait trouvé ce roman «original et spécial» et qu'il «n'ait pas pu le lâcher»...
Une enquêtrice de l'Office anti-stupéfiants, l'élite de la lutte anti-drogue, qui a tout à prouver.Un policier des Stups borderline qui n'a plus rien à perdre.Un clan manouche qui lutte pour son honneur et sa survie.Avec la rigueur qu'on lui connaît, DOA immerge son lecteur dans le quotidien des acteurs du trafic de came; son indiscutable talent de romancier nous arrime à la destinée de ses personnages, à leurs relations complexes et fragiles; son style, d'une précision presque brutale, colle au plus près de cet univers de violence et de solitude.